Joé T Martineau | Revue Gestion

Alors que l’intelligence artificielle se fait de plus en plus présente et que la transition vers le numérique permet aux organisations de gagner en efficacité, des voix s’élèvent pour appeler à un questionnement éthique sur ces avancées technologiques.

Traditionnellement, la gouvernance des organisations était centrée sur la performance et les revenus. Face à une grave crise de confiance, son rôle consiste désormais à la rebâtir, sur des fondements plus éthiques.

Les recherches suggèrent que l’empathie a un effet potentiellement considérable sur les organisations, notamment au chapitre de la prise de décision éthique et de la mise en place d’une culture éthique au sein de celles-ci.

Tout dirigeant souhaitant favoriser les comportements éthiques doit être vigilant en ce qui concerne à la fois les dynamiques à l’œuvre entre les hauts dirigeants et la cohésion au sein des équipes dont ceux-ci sont responsables.

Comment pouvons-nous expliquer les dilemmes éthiques auxquels les organisations font face ? Et si les avancées récentes en neurosciences nous permettaient de jeter un tout nouveau regard sur le côté obscur de la Force ?