La communauté sportive a un besoin vital de bénévoles. Leur contribution est précieuse et même indispensable pour assurer la réalisation de plusieurs activités. Or, ces ressources ne peuvent être mobilisées de la même façon que des employés. Enjeux et défis que présente cette main-d’œuvre particulière.

Le milieu sportif a de grands besoins à combler sur le plan du bénévolat. Qu’il s’agisse de recruter des entraîneurs, des arbitres, des organisateurs de tournois, des juges, des chronométreurs ou tout simplement des personnes chargées du transport des joueurs, la demande est constante. Sur eux repose la tenue d’activités sportives, de matches, de compétitions et d’événements de tout genre. Sans eux, tout bascule, comme on a pu le constater lors de la dernière édition du marathon de Montréal en 2019, alors que le départ a été retardé de plus d’une heure, notamment en raison d’un manque de bénévoles pour assurer la sécurité. Dans ces conditions, comment motiver ses équipes et réussir à les retenir?

Portrait type du bénévole

Contrairement aux salariés, les bénévoles ne sont pas rémunérés, leur lien avec l’organisation tenant davantage du contrat psychologique que du contrat de travail formel. De ce fait, les exigences des employeurs à leur égard ne peuvent pas se situer au même niveau que celles qu’ils auraient pour leurs employés. Difficile, donc, d’avoir des attentes similaires en termes d’heures effectuées, de ponctualité ou de rendement.

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